• Voilà je me lance, ca fait déjà un certains temps que j’ai envie d’écrire, mais peur de pas savoir quoi écrire, comment coucher sur ordi ce qui nous passe dans la tête.

    Quel sujet choisir? Quel public viser?

    OH PUNAISE!!! J’ écris a peine mes premières lignes, et je me vois déjà avec le prix goncourt.

    Si en premier je cherchais juste à éprouver du plaisir à faire ce que je fais, écrire, raconter mes histoires. Histoire fiction, il y aura toujours un peu de vécu dans ce que je vais écrire, reste à ta charge, toi qui me lira de savoir quelle en ai la part.

    Saches aussi que j’ai une imagination débordante, etun humour assez singulier.

    Il y aura du tragique, du pathétique, du romantisme, du sexe, de la violence, de la tendresse de l’amour, mais toujours de l’espoir.

    On vit les choses que l’on doit vivre, on rencontre les gens qu’on doit rencontrer, chaque chutes nous poussent à nous lever.

    A oui, j’espère que tu aimes la musique parce que comme un film, mes histoires auront toujours des références musicales,. Tu te rendras compte que celles ci sont multiples et variées aussi. La musique à toujours fait partie de ma vie, bercée par les vinyles de Georges Brassens, Regiani, Brel, et autres, qui craquent le dimanche matin sur la platine familiale.

    Les cassettes qui restent coincées dans le poste et sur laquelle tu avais pu enregistrer la version inédite de » Girls and boys » de Blur qui passait sur Skyrock, oui tu as bien entendu skyrock comme sont nom le laisse penser ne diffuser pas de rap dans les années 90. ON en était au début d’ailleurs du rap. On était plutôt branché Oasis, Blur, The Cranberries, Pixies, Rage, Nirvana et autres

    Les cd où j’ai dépensé un blé fou, et qui aujourd’hui sont rangés dans mon garage à attendre des jours meilleurs.

    La révolution des plateformes d’écoutes musicales, et leur bibliothèque musicale aussi diverse que varié, qui me permet d’emmener ma musique partout avec moi, révolution du Bluetooth et des enceintes connectées partout dans la maison

    Et aujourd’hui, retrouvé cette bonne vielle platine, écouter des vinyles le dimanche matin avec ma fille et lui transmettre ma passion, élargir son horizon et l’emmener voir des concerts.

    Bon on va peut être commencer.

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    J’entends encore ce générique, celui des Chevaliers du zodiaque retentir.

    Je vois encore le canapé vert amande de leur maison, moi assise entre deux coussins à attendre que le générique annonce la fin de mon répis.

    Je le vois la bouche entrouverte,les lunettes posées sur le bout de son nez,les yeux rivés sur cet écran.

    Sa mère préparait à chaque repas de la salade avec une vinaigrette forte en ail. Et quand il respirait,je pouvais sentir les relans de cette sauce qui émanaient de sa bouche. Aujourd’hui encore je peux sentir cette odeur âcre qui me rendait malade quand il parlait au dessus de mon nez.

    J’aurais tant aimé que ce générique ne s’arrête jamais, qu’il m’oublie, que ma sœur redescende. J’aurais tant aimé aller écouter A-ha avec elles, mais j’étais trop petite.

    J’ai 7ans, ma mère part tout les matins très tôt pour se rendre à son travail. Et nous laisse ma sœur Florence et moi chez la voisine. Ils ont un fils et une fille. Christine âgée de 4 ans de plus que moi, élevée comme une princesse, Danseuse classique et plus intéressée par son apparence et les garçons, que par la famine dans le monde. Une vraie égocentrique dont les parents exécutent tout les caprices.

    Et puis il y a Lui dont je tairais le nom. On a deux ans d’écart, élevé dans l’ombre de sa sœur, et qui idolâtre son père.

    Lui qui reçoit des « pegass » de sa mère, à la moindre connerie.

    Lui qui rentre dans des rages folles des qu’on le contrarie, où qu’il se fait gronder. Lui qui me fait peur,et dont je ne veux réveiller la colère. Lui qui aime diriger,m’imposer ses jeux.

    J’ai 7 ans et j’ai peur.

    J’ai 7ans, et je suis une petite fille. Je ne sais pas grand chose, tant que ma sœur est là je ne risque rien.

    Je le sais maman me l’a dit. Florence elle a trois ansde plus, je l’aime ma sœur, elle me protège.Avec elle je ne risque rien.

    Mais ce jour là, elle ne veut pas rester avec moi. Elle veut aller avec Christine écouter le dernier 45 tours de AhA. Elle ne  veut pas rester avec les petits.

    Elle est dans la chambre de Christine, j’entends Morten Harket qui chante le début de sa chanson. J’adore le clip, mêlant vidéo et dessin animé.

    Il est au début de sa chanson,et pour moi c’est la fin du générique.

    Sa voix résonne encore en moi. Ses yeux lâchent l’écran, comme s’il prenait conscience que j’étais là.

    Le couperet tombe : »on monte dans ma chambre,on va jouer aux chevaliers « 

    « Non,je veux regarder encore la télé »

    « si on monte,je te dis ! »

    Je n’ai pas le choix, si je ne m’exécute pas,je sais comment ça va se passer.

    Il va s’énerver,et au final je serai obligée de monter.Alors je m’exécute, je lui dis que d’abord je veux faire pipi, histoire de gagner du temps.

    Je revois les escaliers en bois qui montent à sa chambre.Je peux encore entendre le grincement des Marches sous le poids de son corps. Je sais qu’il attend derrière la porte.

    Quand je sors il est là, la porte de la chambre de sa sœur et juste a côté. J’entends nos sœurs qui discutent, sa mère est en bas en train de pailler une chaise. On est que tout les deux, je suis seule avec lui. Je suis vulnérables,et j’ai peur. Je sais ce qui va se passer, une fois qu’il aura fermé la porte.

    Je serai Athena et lui le chevalier du Phoenix ou Pégase. Après avoir mené différentes bataille imaginaire, pour me défendre moi Athena déesse de la guerre contre des méchants chevaliers. Il va me demander de m’allonger sur sont lit, sur ce couvre lit chenille bleu. Il va remonter ma robe et me demander d’enlever ma culotte.

    Je ne dirai rien et je m’executerai en silence. Il m’expliquera que son Chevalier et moi on est amoureux et que pour le remercier de m’avoir sauvé on va faire des bébés.

    Drôle de façon de remercier quelqu’un. Mais ce n’est qu’un jeu, on fait rien de grave tu sais. C’était sa façon de minimiser la chose.

    Je suis là sur le lit, les yeux rivés aux mur, je regarde les planètes qui ornent la tapisserie de sa chambre. Je voudrais m’envoler la haut avec elles.

    Mais je suis là cloué sur ce lit a attendre qu’il est fini. Il est là son pantalon baissé, son petit sexe dressé sous son ventre bedonnant. Il grimpe sur le lit me touche un peu l’entre jambe pour que j’écarte un peu plus.

    Il se met sur moi.

    Je sens cette chose chaude contre moi, et il commence son va et vient. Je ne comprends pas vraiment, mais je sais que c’est mal.

    Le frottement me fait me sentir bizarre, il souffle dans mon cou de plus en plus fort. Il m’écrase sous son poids, cette drôle de sensation s’intensifie, je ne suis pas bien mais en même temps elle n’est pas désagréable. Je sais que c’est pas bien, j’ai honte, il râle a mon oreille.

    « J’ai mal arrête » Ce sont ces mots qui mettront fin cette fois là et celle d’après a mon calvaire.

    Et il s’arrête comme a chaque fois. Et comme a chaque fois on passera à d’autre jeu ou nos corps ne seront plus les protagonistes.

    Je sais au fond de moi, que c’est choses ne sont pas normale. Mais cette sensation étrange que je ressentais a chaque fois. Il m’a été permis un jour de savoir ce que c’était et de ne pas en avoir honte, au contraire.

    Cette sensation je la chercherai encore longtemps.Mais j’aurais aimé la découvrir autrement que sur un dessus de lit chenille bleu, avec un petit gros a lunettes a l’haleine aillé et avec pour fond sonore morten qui me dit touche moi.

    J’ai compris bien plus tard ce que c’était. Mais ça c’est une autre histoire.

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  • Voilà je me lance, ca fait déjà un certains temps que j’ai envie d’écrire, mais peur de pas savoir quoi écrire, comment coucher sur ordi ce qui nous passe dans la tête.

    Quel sujet choisir? Quel public viser?

    OH PUNAISE!!! J’ écris a peine mes premières lignes, et je me vois déjà avec le prix goncourt.

    Si en premier je cherchais juste à éprouver du plaisir à faire ce que je fais, écrire, raconter mes histoires. Histoire fiction, il y aura toujours un peu de vécu dans ce que je vais écrire, reste à ta charge, toi qui me lira de savoir quelle en ai la part.

    Saches aussi que j’ai une imagination débordante, etun humour assez singulier.

    Il y aura du tragique, du pathétique, du romantisme, du sexe, de la violence, de la tendresse de l’amour, mais toujours de l’espoir.

    On vit les choses que l’on doit vivre, on rencontre les gens qu’on doit rencontrer, chaque chutes nous poussent à nous lever.

    A oui, j’espère que tu aimes la musique parce que comme un film, mes histoires auront toujours des références musicales,. Tu te rendras compte que celles ci sont multiples et variées aussi. La musique à toujours fait partie de ma vie, bercée par les vinyles de Georges Brassens, Regiani, Brel, et autres, qui craquent le dimanche matin sur la platine familiale.

    Les cassettes qui restent coincées dans le poste et sur laquelle tu avais pu enregistrer la version inédite de » Girls and boys » de Blur qui passait sur Skyrock, oui tu as bien entendu skyrock comme sont nom le laisse penser ne diffuser pas de rap dans les années 90. ON en était au début d’ailleurs du rap. On était plutôt branché Oasis, Blur, The Cranberries, Pixies, Rage, Nirvana et autres

    Les cd où j’ai dépensé un blé fou, et qui aujourd’hui sont rangés dans mon garage à attendre des jours meilleurs.

    La révolution des plateformes d’écoutes musicales, et leur bibliothèque musicale aussi diverse que varié, qui me permet d’emmener ma musique partout avec moi, révolution du Bluetooth et des enceintes connectées partout dans la maison

    Et aujourd’hui, retrouvé cette bonne vielle platine, écouter des vinyles le dimanche matin avec ma fille et lui transmettre ma passion, élargir son horizon et l’emmener voir des concerts.

    Bon on va peut être commencer.

    Apprendre a s'aimer, S'est déjà un premier pas vers l'amour. S'aimer, c'est ce connaître et faire la paix avec son passé.
  • Voilà je me lance, ca fait déjà un certains temps que j’ai envie d’écrire, mais peur de pas savoir quoi écrire, comment coucher sur ordi ce qui nous passe dans la tête.

    Quel sujet choisir? Quel public viser?

    OH PUNAISE!!! J’ écris a peine mes premières lignes, et je me vois déjà avec le prix goncourt.

    Si en premier je cherchais juste à éprouver du plaisir à faire ce que je fais, écrire, raconter mes histoires. Histoire fiction, il y aura toujours un peu de vécu dans ce que je vais écrire, reste à ta charge, toi qui me lira de savoir quelle en ai la part.

    Saches aussi que j’ai une imagination débordante, etun humour assez singulier.

    Il y aura du tragique, du pathétique, du romantisme, du sexe, de la violence, de la tendresse de l’amour, mais toujours de l’espoir.

    On vit les choses que l’on doit vivre, on rencontre les gens qu’on doit rencontrer, chaque chutes nous poussent à nous lever.

    A oui, j’espère que tu aimes la musique parce que comme un film, mes histoires auront toujours des références musicales,. Tu te rendras compte que celles ci sont multiples et variées aussi. La musique à toujours fait partie de ma vie, bercée par les vinyles de Georges Brassens, Regiani, Brel, et autres, qui craquent le dimanche matin sur la platine familiale.

    Les cassettes qui restent coincées dans le poste et sur laquelle tu avais pu enregistrer la version inédite de » Girls and boys » de Blur qui passait sur Skyrock, oui tu as bien entendu skyrock comme sont nom le laisse penser ne diffuser pas de rap dans les années 90. ON en était au début d’ailleurs du rap. On était plutôt branché Oasis, Blur, The Cranberries, Pixies, Rage, Nirvana et autres

    Les cd où j’ai dépensé un blé fou, et qui aujourd’hui sont rangés dans mon garage à attendre des jours meilleurs.

    La révolution des plateformes d’écoutes musicales, et leur bibliothèque musicale aussi diverse que varié, qui me permet d’emmener ma musique partout avec moi, révolution du Bluetooth et des enceintes connectées partout dans la maison

    Et aujourd’hui, retrouvé cette bonne vielle platine, écouter des vinyles le dimanche matin avec ma fille et lui transmettre ma passion, élargir son horizon et l’emmener voir des concerts.

    Bon on va peut être commencer.

  • Voilà je me lance, ca fait déjà un certains temps que j’ai envie d’écrire, mais peur de pas savoir quoi écrire, comment coucher sur ordi ce qui nous passe dans la tête.

    Quel sujet choisir? Quel public viser?

    OH PUNAISE!!! J’ écris a peine mes premières lignes, et je me vois déjà avec le prix goncourt.

    Si en premier je cherchais juste à éprouver du plaisir à faire ce que je fais, écrire, raconter mes histoires. Histoire fiction, il y aura toujours un peu de vécu dans ce que je vais écrire, reste à ta charge, toi qui me lira de savoir quelle en ai la part.

    Saches aussi que j’ai une imagination débordante, etun humour assez singulier.

    Il y aura du tragique, du pathétique, du romantisme, du sexe, de la violence, de la tendresse de l’amour, mais toujours de l’espoir.

    On vit les choses que l’on doit vivre, on rencontre les gens qu’on doit rencontrer, chaque chutes nous poussent à nous lever.

    A oui, j’espère que tu aimes la musique parce que comme un film, mes histoires auront toujours des références musicales,. Tu te rendras compte que celles ci sont multiples et variées aussi. La musique à toujours fait partie de ma vie, bercée par les vinyles de Georges Brassens, Regiani, Brel, et autres, qui craquent le dimanche matin sur la platine familiale.

    Les cassettes qui restent coincées dans le poste et sur laquelle tu avais pu enregistrer la version inédite de » Girls and boys » de Blur qui passait sur Skyrock, oui tu as bien entendu skyrock comme sont nom le laisse penser ne diffuser pas de rap dans les années 90. ON en était au début d’ailleurs du rap. On était plutôt branché Oasis, Blur, The Cranberries, Pixies, Rage, Nirvana et autres

    Les cd où j’ai dépensé un blé fou, et qui aujourd’hui sont rangés dans mon garage à attendre des jours meilleurs.

    La révolution des plateformes d’écoutes musicales, et leur bibliothèque musicale aussi diverse que varié, qui me permet d’emmener ma musique partout avec moi, révolution du Bluetooth et des enceintes connectées partout dans la maison

    Et aujourd’hui, retrouvé cette bonne vielle platine, écouter des vinyles le dimanche matin avec ma fille et lui transmettre ma passion, élargir son horizon et l’emmener voir des concerts.

    Bon on va peut être commencer.

    C’est le début d’une aventure que j’ai toujours voulu mener. Il y a des gens pour qui parler est difficile, mais pour qui l’écriture est un prolongement de sa pensée,de sa réflexion.Aujourd’hui ma parole se libère,et je sais la personne que je suis, je sais que je suis forte, et qu’à chaques chutes, chaques gifles,je me suis toujours relevée, j’ai jamais perdu espoir. Toujours eu cette force, cet instinct de vie, pour moi mais encore plus pour ma fille.

    Parce que la vie est belle,que même si des fois ça fait mal, même si des fois on peut douter,avoir peur. Ça vaut le coup, pour ces doux rires partagés, pour ces matins d’été, pour ses grands yeux noirs qui me regardent, pour sa petite main dans la mienne. Son petit cœur qui bat à l’unisson avec le mien, parce qu’elle est mon petit tracteur, mon petit moteur, qu’avec elle je ne serai jamais seule.

    Je sais que je connaîtrais encore plein de jolies choses parce que l’amour est mon combat, parce que je l’ai toujours cherché, idéalisé, mais j’ai déjà le plus précieux, celui de ma fille.

    Aujourd’hui j’ai 42 ans, et je peux dire que je suis fière de moi, de la personne que je suis devenue, de ce que j’ai accompli et de ce qu’il me reste à faire.